Créer quand on souffre, ce n’est pas fuir : c’est respirer. Dans le deuil, l’art devient un refuge, un langage, un espace pour remettre du sens là où tout semble perdu. Cet article explore la puissance créatrice du geste — écrire, peindre, danser, photographier — comme manière d’habiter la douleur et de la transformer. Parce qu’au fond, créer dans l’inconfort, c’est déjà un acte de vie.
Quand on vit un deuil, le corps parle souvent avant les mots. Fatigue, tensions, douleurs, souffle coupé : les émotions s’impriment dans la chair, parfois longtemps après la perte. Cet article explore le lien entre chagrin et sensations physiques, la mémoire corporelle du deuil, et l’importance d’apprendre à écouter plutôt qu’à maîtriser. Parce que le deuil n’est pas seulement une épreuve du cœur, mais aussi une traversée du corps — un passage lent, où la vie cherche à reprendre sa place, un souffle à la fois.
Mort, deuil, fin de vie : comment (re)parler de l'indicible ?
Découvrez ici le premier post du blog de Sanaé, ressourcerie Deuil & Fin de vie